la Larme

Et quand enfin la larme coule
La paix prend le pas sur la douleur
La mer apaise sa houle
Des filaments de blancs
Traversent la noirceur
Le vent s’essouffle un peu
On s’essuie la face
Les joues sont encore en feu
Doucement la souffrance
S’efface
Une dernière larme
Prépare un moindre malheur
Le mal est sans armes
Et peu à peu se meurt

Mais la mer n’est pas sans vagues,
Il y aura toujours ces îlots
Qui s’élèvent au-desus des flots
Qui barrent l’entrée du paradis

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